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14 août 2016 7 14 /08 /août /2016 07:08
Un amour entre mère et fille
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Un amour entre mère et fille
Un amour entre mère et fille
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14 août 2016 7 14 /08 /août /2016 01:43
Une baignade entre soeurs
Une baignade entre soeurs
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14 août 2016 7 14 /08 /août /2016 00:56
6 chiens sortis de fourrière pour leur éviter l'euthanasie6 chiens sortis de fourrière pour leur éviter l'euthanasie
6 chiens sortis de fourrière pour leur éviter l'euthanasie6 chiens sortis de fourrière pour leur éviter l'euthanasie
6 chiens sortis de fourrière pour leur éviter l'euthanasie6 chiens sortis de fourrière pour leur éviter l'euthanasie

La ferme des rescapés a sorti 6 chiens menacés d'euthanasie, d'une fourrière il y a quelques semaines. Deux étaient réservés, ils sont partis directement dans leur nouvelle famille. Nous la remercions encore infiniment de leur avoir offert cette chance.

Les autres attendent leur adoption à la ferme. Ce sont de jeunes chiens très gentils.

Pour les adoptions, merci de nous contacter par téléphone au 06 04 41 80 45.

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16 juin 2016 4 16 /06 /juin /2016 18:46

Bonsoir,

J'ai découvert la ferme un jour d'hiver. Accompagnée par une amie j'amenais une agnelle promise à l'abattoir. Puis j'ai eu la chance de m'y rendre plus fréquemment pour aider les hôtesses des lieux dans leur travail.

Les animaux y sont nombreux ; chevaux, ânes, moutons, chèvres, oiseaux, chats, chiens....et ont tous le même dénominateur commun : ils viennent de milieux de souffrance, de surexploitation, d'abandon.

Pourtant, en ces jours de printemps, quand j'arrive au début du chemin qui mène à la ferme, je m'arrête un instant tant le tableau qui s'offre à mes yeux est serein : les uns broutent , d'autres se reposent au milieu du passage. En dépit des sonores protestations des moutons et du froncement de sourcils d'un petit bouc, j'arrive doucement à proximité du portail.

J'ai aussi fait connaissance avec les chats. Normal, j'ai monté quelques-unes de leurs petites maisons douillettes et nettoyé souvent les bacs à litière dont vous ne pouvez imaginer le nombre ! il y a les félins timides, les curieux, ceux qui vous aident à leur façon, ceux qui viennent chercher des caresses. Ils sont tous attachants et j'aime travailler au milieu d'eux.

Je ne sais pas à l'avance quelles seront mes tâches. C'est physique, fatigant mais la récompense est toujours à proximité : un câlin par-ci, une gratouille par-là, c'est un plaisir à chaque fois renouvelé.

Véréna me parle des derniers arrivés : des chevaux, des chèvres, des chats sauvages ou considérés comme tels. Ces derniers, qui ne répondent pas aux critères attendus par d'éventuels adoptants, n'ont aucun avenir ailleurs.

Quand plus tard je revois certains d'entre eux, je suis émerveillée de voir que ces chats qui crachaient et étaient prêts à griffer n'ont plus aucune agressivité. C'est l'effet Véréna et Morlind. Leur crédo : quel que soit l'animal accueilli, le laisser tranquille, lui parler, attendre tout simplement qu'il prenne confiance et s'apaise, tout en surveillant son état de santé.

Parce qu'il y a les mauvais jours ; quand les vêlages sont difficiles, quand la maladie survient. C'est alors souvent une course contre la montre : perfusions, médicaments, apport d'oxygène, déplacements chez le vétérinaire. J'en suis témoin pour avoir à plusieurs reprises amené des chats en clinique et en avoir ramené d'autres. Aucun symptôme n'échappe à la vigilance de Véréna et Morlind, dont les nuits sans sommeil pour veiller les malades ne se comptent plus.

Je suis impressionnée par leur connaissance du caractère de chacun de leurs protégés, de leur mode de vie. J'aime écouter chaque histoire.

Les joies mais aussi les (nombreux) chagrins sont indissociables de cet univers. J'ai beaucoup appris et j'en remercie Véréna et Morlind. Je les salue, pour cet amour sans conditions qu'elles offrent à leurs bêtes, du lever du soleil jusque tard dans la nuit, et ce, quelle que soit leur condition physique, quel que soit leur état de fatigue.

Elise Villemur,

Bénévole à la ferme des rescapés

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6 juin 2016 1 06 /06 /juin /2016 16:12
Des poules heureuses
Des poules heureuses
Bonjour Verena et Morlind,
 
Voici quelques photos des 5 poules que nous sommes venus chercher chez vous il y a 15 jours.
Elles s'habituent très bien, c'est un grand bonheur de les voir découvrir la liberté et de les rendre heureuses.
Cet après-midi nous allons ouvrir l'enclos pour qu'elles puissent enfin aller sur le terrain.
Merci à vous et pour tout ce que vous faites.
A bientôt.
Jenny et Sam
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4 juin 2016 6 04 /06 /juin /2016 21:55
Aux animaux qui illuminent nos journées
Il y a deux mois environ, l'association « Le chat du Mirail » nous a apporté quelques chats des quartiers Auriacombe, la Reynerie et Bellefontaine.
Les jeunes du quartier s'amusent à y tuer les chats, de préférence les gentils, plus faciles à attraper. Il prennent plaisir à les écraser avec leur voiture.
Une des chattes de ce groupe a été retrouvée attachée avec une ficelle autour du cou. Elle est arrivée traumatisée à la ferme. Elle essaye toujours de se cacher, est effrayée par chaque bruit et se fige de peur lorsqu’on la touche.
Un autre chat de ce groupe est arrivé très stressé. Il a craché après nous et les autres chats. Au début, j'ai pensé qu'il était un peu sauvage mais au bout de quelques jours j'ai pu commencer à le caresser. Il appréciait les caresses sous le cou et sous le ventre. Petit à petit, il s'est révélé être un des plus doux, tendres et sensibles chats que j'ai connus. C'était un amour. Il a apprécié le calme et la sérénité qui règne à la ferme.
Il se couchait en long au milieu de ma chambre ou dormait dans le lit, les pattes étirées. C'était un magnifique matou de 8 kg. Un matin, il a commencé à montrer des signes de détresse respiratoire. Ma mère l'a conduit en urgence à la clinique vétérinaire. Il a du être sédaté et intubé pour être ausculté et soigné. Le vétérinaire nous a appris qu'il avait une tumeur du larynx. J'ai demandé en vain qu'il tente une opération ou une chimiothérapie mais la tumeur était trop grande et infiltrée dans les tissus.
Seul un traitement avec beaucoup de cortisone pouvait le soulager encore un peu.
Même s'il n'y a pas d'espoir, on espère toujours un miracle. Mais même tout l'amour du monde ne peut pas changer le cours des choses.
Deux jours, c'est tout ce qu'il nous a été donné avant que je ne sois obligée de le faire endormir parce qu'il ne trouvait plus suffisamment d'air.
La plupart des chats qui arrivent chez nous sont sauvages ou craintifs. Un chat comme lui, si doux et tendre, qui apprécie d'être pris dans les bras, nous n'en rencontrons que très rarement.
Une amie m'a dit qu'il avait eu de la chance de trouver un foyer avant de mourir et de ne pas être resté dans la rue. Mais en ce qui le concerne, il m'a donné davantage que ce que j'ai pu lui offrir.
Il y a des animaux qui nous marquent énormément. Quand ils disparaissent, ils laissent un vide et ils nous manquent terriblement. Il a fait partie de ceux-là. Tout comme Hunter, un chat qui a illuminé nos journées et à qui je pense tous les jours.
L'association « Les chats du Mirail » nous a raconté que le chat mort d'une tumeur a passé près de deux ans dans le quartier Bellefontaine, à se cacher sous les voitures. C'est sûrement à cause de tous les gaz des pots d'échappement qu'il a développé sa tumeur.
Deux longues années pendant lesquelles personne n'a eu pitié de lui et ne lui a offert un foyer.
A la Ferme des Rescapés, c'est ce que nous essayons d'offrir aux animaux qui vivent avec nous et aux nouveaux qui arrivent. Un foyer, de la chaleur, des soins et un habitat qui correspond aux besoins de chacun, de la paix, du respect et de l'amour.
Chaque jour, nous nous efforçons de donner le meilleur et le maximum de nous-mêmes, afin qu'ils soient le mieux possible. Même si nous avons toujours des animaux à l'adoption, beaucoup restent ici jusqu'à la fin de leurs jours.
Je suis persuadée qu'il est de notre devoir de les aider, de leur offrir un refuge. La ferme est un lieu sacré pour beaucoup d'animaux.
Cette année, un nombre inédit d'équidés (une vingtaine) a été accueilli. Beaucoup allaient finir à l'abattoir ou étaient délaissés.
Deux chevaux de centre équestre nous ont été amenés à la mi-mai. La jument est une ancienne poulinière de 23 ans. Le hongre est un cheval de concours qui est tombé sur le pilier d'un obstacle. Il boite énormément.
La petite ânesse trouvée errante sur la route par l'association  «La patte de l'espoir » retrouve peu à peu la santé.
Deux autres équidés sont arrivés :
- un hongre de 16 ans qui devait être tué à cause de ses mélanomes et finir en alimentation animale. Il profite de chaque jour qui lui est offert.
- et une petite ponette de 30 ans dont le propriétaire âgé de 100 ans n'est plus capable de s'occuper. La famille a refusé de la prendre à cause de son âge.
Des animaux d'élevage ont également découvert qu'il existe une vie en dehors des bâtiments dans lesquels ils furent enfermés.
Presque une vingtaine de chèvres de réformes destinées à l'abattoir a été accueillie. Certaines sont âgées de quelques années seulement mais ne sont plus suffisamment productives pour les élevages. Elles sortent affaiblies et usées de ces «usines à lait ».
Un autre troupeau de 7 chèvres chez un particulier nous a été confié par un vétérinaire. Enfermés dans une grange, 8 chèvres adultes et plusieurs chevreaux sont morts de faim avant que les signalements d'une voisine à la SPA et aux vétérinaires n'aboutissent.
Les survivantes étaient très anémiées et maigres.
Les premières poules de réformes sont arrivées et commencent à gratter le sol et à tout découvrir, avec la joie de vivre. Elles sont très curieuses. 55 autres vont venir dans quelques jours. L'association en propose beaucoup à l'adoption afin d'en sauver un maximum de l'enfer de l'abattoir.
3 chiens ont été adoptés par une ancienne bénévole de l'association, mais beaucoup attendent toujours de trouver une famille où ils seront davantage privilégiés.
La SACPA nous a confié quelques chats sauvages afin d'éviter leur euthanasie et le chat d'un particulier qui a de toute évidence vécu un traumatisme. Il se sent vite menacé par l'homme et se met alors à donner des coups de pattes et à mordre.
La police municipale a fait appel à nous pour un chat malade.
Trouvé par un couple de particulier dans un séchoir à tabac, il a été amené dans une clinique vétérinaire afin de savoir s'il était identifié. Le vétérinaire n'a pas trouvé de puce électronique ni de tatouage mais a constaté que l'animal était très affaibli et déshydraté. Il a néanmoins refusé de le soigner alors qu'il est de son devoir d'apporter des soins aux animaux trouvés. La police municipale nous a remis l'animal et nous l'avons amené de toute urgence chez nos vétérinaires. Il du rester en clinique afin d'être perfusé et soigné.
Nous espérons toujours compter sur votre soutien pour continuer notre combat quotidien, payer les factures vétérinaires, l'alimentation et les frais d'entretien.
Merci de parler de nous, autour de vous, de distribuer nos flyers afin que notre association soit davantage connue.


Morlind Fiegl

 

Aux animaux qui illuminent nos journées
Aux animaux qui illuminent nos journées
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28 mai 2016 6 28 /05 /mai /2016 21:55
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21 mai 2016 6 21 /05 /mai /2016 13:57

J'aimerais écrire un hommage à cette magnifique chatte écaille de tortue qui se trouvait dans une fourrière d'un département limitrophe. Sauvage, elle a été capturée par la sipa avec ses petits ; elle n'avait aucune chance. Ses petits ont été tués d'abord, puis elle.

Elle est un symbole pour tous les milliers de chattes sauvages qui sont capturées à cette époque et jusqu'en hiver. Toutes sont destinées à mourir, parce qu'elles sont inadoptables. Dès qu'elles apparaissent dans le jardin d'un particulier pour demander un peu de nourriture, quelqu'un va les piéger ou demander à la mairie de le faire, pour ensuite les euthanasier.

On ne les voit pas dans les refuges parce qu'elles n'y entrent jamais. Quand quelques-unes d'entre elles arrivent ici, à la ferme, elles défendent farouchement leurs petits, prêtes à nous griffer même si nous leur mettons seulement un bol d'eau dans la cage.

Au fur et à mesure elles comprennent qu'on ne leur veut rien de mal, ni à leurs petits. Elles sont très dévouées ; elles bougent quelquefois à peine pendant les semaines durant lesquelles elles allaitent et lèchent leurs chatons.

Quand elles sont plus détendues et qu'elles circulent librement dans la maison, elles échangent quelquefois leurs petits. Une mère s'en va un peu, une autre prend le relais et s'occupe de ses petits en même temps.

S'il y a des chatons orphelins, même plus grands ou plus petits, nous trouvons souvent une mère qui s'en occupe. Il n'y a pas de : « Eux, ce sont les miens, les autres ne sont pas à moi ». Tout chaton qui est seul, qui miaule, qui a faim ou cherche de l'affection trouve une place à côté d'elles. Les mères sauvages sont les mères les plus sociables.

Les voir avec leur immense tendresse et leur attention envers les enfants est un grand bonheur. Il est en même temps partagé avec du chagrin quand je pense à toutes celles qui vont être chassées et tuées avec beaucoup de haine «humaine ».

Si elles ont encore « de la chance », elles vont être séparées de leurs petits beaucoup trop tôt , afin de pouvoir apprivoiser les chatons dès 4 semaines. Le fait qu'ils mangent déjà ne veut pas du tout dire qu'ils sont capables de vivre sans leur mère. A trois mois, un chaton est équilibré et stable pour une adoption ; pas avant. Tous les chats de particuliers qui arrivent ici à l'association, à cause de graves problèmes comportementaux (agression envers les humains ou d'autres chats...) ont été adoptés à l'âge de 4 semaines souvent auprès d'associations.

Nous sommes de plus en plus sollicités par des particuliers pour des chats complètement déséquilibrés. Les chats ont vu des comportementalistes et plusieurs vétérinaires avant d'arriver ici, mais personne n'a pu les aider.

Il y a des phases importantes dans l'enfance (animale et humaine) qu'il n'est pas possible de rattraper.

Il faut énormément de temps, de patience et d'observation respectueuse pour changer leur comportement et parfois de nombreux autres chats !

Je suis sûre que plusieurs personnes vont m'accuser «d'agrandir la misère des chats », parce que je laisse naître des chatons de mères arrivées gestantes à la ferme ou parce que je laisse vivre les chatons avec leur mère.

Attention, quand je suis arrivée ici il y a 18 ans, j'ai dépensé une fortune pour faire stériliser et castrer tous les chats (environ une centaine) qu'on m'a apportés.

J'ai payé pendant 10 ans le plein tarif chez le vétérinaire, sans crier après une fondation ou une association pour m'aider. Ce n'est que depuis 8 ans que nous sommes nous-mêmes une association et que nous payons moitié prix.

La raison pour laquelle je ne laisse pas avorter des chattes gestantes peu de temps avant la mise bas (et pour le moment quelques-unes arrivent à ce stade), c'est parce que c'est trop risqué pour elles. Notre principal vétérinaire pour les chats refuse d'ailleurs de les stériliser quand la grossesse est trop avancée à cause du risque d'hémorragie. Pourtant cela nous a déjà plusieurs fois valu d’être accusées "de faire du trafic avec les chats" ou "de faire de l'argent avec eux".

Nous avons récemment montré à deux bénévoles du refuge de Cahors une de nos chatteries qui abrite surtout des chatons en bas âge ou des mères avec chatons. Il y avait deux belles chattes avec des chatons et maintenant ces bénévoles font courir des rumeurs parce que d'après elles nous faisons un trafic avec des chats à poils long.

Alors, chaque maternité fait un trafic avec les enfants ?

C'est dommage que face à la misère des chats abandonnés et des chats sauvages, les associations et refuges préfèrent se déchirer entre eux plutôt que de travailler ensemble.

Le but commun qui est de diminuer la souffrance, les épidémies et les maladies se perd.

L'ennemi n'est pas le chat sauvage ou la chatte pleine. L'ennemi ce sont les humains non responsables qui ne font pas stériliser leur chatte et aussi leur chat, même s'ils n'en voient pas les conséquences.

Il y a aussi beaucoup d'humains sur la Terre et à mon avis ils font plus de dégâts que les chats errants ou sauvages, mais on ne commence pas à les stériliser à l'âge de 5 ans.

Le problème est que quelques chats libres, stérilisés ou non, dans les villes ou à la campagne, dans un jardin etc, finissent toujours par devenir un « problème ou une gêne » pour les habitants.

Il existe de vrais chats sauvages et aussi de jeunes chatons qui ne s’intéressent jamais à nos câlins (ils partagent déjà une vraie tendresse et de la solidarité entre eux) ; pourquoi cela provoque tellement de haine et d’incompréhension ?

Ne serait ce pas plutôt l'égo humain le problème ?

 

Verena FIEGL

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20 mai 2016 5 20 /05 /mai /2016 06:44

Nous sommes seulement au mois de mai, mais déjà les premiers chatons sont trouvés dans des poubelles. D'autres sont retrouvés noyés ou tués avec violence.

Un chaton nouveau-né est sensible à la douleur, ne l'oubliez pas. Ne les condamnez pas à une mort lente et douloureuse.

S'ils étaient humains, on appellerait cela un infanticide.

Si vous n'arrivez pas à placer vos chatons ou jeunes chats correctement ou si vous trouvez un chat abandonné, contactez l'association.

L'association récupère également des chattes en danger avec leurs chatons.

Merci pour eux.

La stérilisation des chattes avant les premières chaleurs est toujours la meilleure solution.

L'association en profite pour rappeler que nous cherchons des familles d'accueil pour des chatons non sevrés.

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15 mai 2016 7 15 /05 /mai /2016 18:42
Opération délicate

Bouly a été trouvé errant par la Sacpa et testé FIV+. Aucune association ou refuge des alentours n'a souhaité le prendre en charge.

Amené à la ferme des Rescapés afin de lui éviter l'euthanasie, il s'est révélé être un gentil chat, mais qui n'aime pas être porté ni manipulé.

Il a présenté des problèmes respiratoires dès son arrivée et il paraissait toujours un peu fatigué. Nous l'avons amené chez notre vétérinaire et après une radio et quelques examens, ce dernier a diagnostiqué une hernie diaphramatique grave. L'opération s'annonçait délicate.

Bouly est resté deux jours hospitalisé à la clinique avant d'être opéré car l'opération nécessitait la présence de deux vétérinaires chirurgiens, puis quatre jours sous observation et contrôle.

Ce fut un grand bonheur de pouvoir le récupérer.  Nous lui souhaitons une belle et longue vie.

 

 

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  • : La ferme des rescapés
  • : Ce blog décrit les actions de l'association "La ferme des rescapés", située dans le sud-ouest de la France (Lot). Cette asso lutte activement contre la maltraitance et l'abandon des animaux. Elle s'oppose également à l'envoi d'animaux à l'abattoir, à la présence d'animaux dans les cirques et à l'exploitation des animaux en général.
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